onsdag 22. mai 2024

« Vois! Ton vaccin qui te fait rester au pays d’Egypte! »

 

J’ai vu sur internet des extraits de cette émission-ci qui sont fort parlants:
 
A partir de 1 heure 10, une des journalistes présentes se risque à jeter un regard rétrospectif sceptique sur la manière dont les media ont participé au bourrage de crâne vaccinal au cours des 30 derniers mois.
 
La réaction piquée d’un autre journaliste présent est remarquable: « Je ne connais pas de grand professeur qui remette en cause le vaccin » ; puis surtout « vous émettez des doutes sur le vaccin ».
 
Combien cette phrase est révélatrice !
 
Pour cet homme, l’infaillibilité vaccinale est manifestement l’équivalent de ce qu’est l’infaillibilité pontificale ou l’immaculée conception pour d’autres.
 
Ses réactions vives et agacées manifestent qu’on titille ce qui est en lui un dogme aussi inexpugnable que le Château du Taureau dans la Baie de Morlaix.
 
C’est intéressant de s’y attarder.
 
La manipulation de la ploutocratie a consisté à faire souffler sur le monde en 2020 une terreur de mort, touchant à ce qu’il y a de plus primaire dans l’humain en escomptant naturellement susciter des réactions primaires. C’est ainsi qu’une manipulation a les meilleures chances d’obtenir les résultats qu’on en attend. Ce ne serait pas aussi facile si les réactions passaient par le filtre d’une réflexion profonde et apaisée issue du neo cortex.
Or, l’homme en détresse, pour quelque raison que ce soit, dès lors qu’il ne connaît pas son Créateur et est imprégné de la certitude qu’Il a le contrôle total de toutes les situations, recourt presque toujours à des grigris.
Cet extrait d’un apocryphe (2 Maccabés 12:39-41) en est une bonne illustration: »Le lendemain, alors qu’il était devenu grand temps de le faire, les hommes de Judas vinrent enlever les corps de ceux qui avaient succombé dans la bataille, afin de les déposer avec leurs proches dans les tombeaux de leurs pères. Or, ils trouvèrent sous la tunique de chacun des morts des objets consacrés aux idoles de Jamnia, ce que la Loi interdit aux Juifs. Il fut évident pour tous que c’est pour cette raison qu’ils avaient succombé. Tous bénirent donc la conduite du Seigneur, le juge impartial qui rend manifestes les choses cachées ».
Exactement comme au moment de l’annonce de la plandémie, les soldats dont il est question dans cet extrait avaient eu peur de mourir à la guerre. Aussi avaient-ils superstitieusement recouru à des idoles dans le fallacieux espoir que des statuettes les protègeraient des traits et des javelots.
Les vaccins remplissent exactement la même fonction et c’est bien pour cela qu’ils sont exactement le même piège que les grigris de Jamnia.
L’épisode relaté en Exode 32 illustre non seulement que ce n’est pas un veau d’or qui pouvait faire sortir les Hébreux d’Egypte mais que, en fait, ceux qui adoraient ce veau ne voulaient pas sortir d’Egypte dans les tréfonds de leur être. Et, à chaque épreuve, en effet, ils se lamentaient d’avoir quitté l’Egypte.
Il en va EXACTEMENT de même du grigri « vaccin » et c’est bien la raison pour laquelle il est tellement consternant de voir des pans entiers de la Chrétienté se prosterner avec les païens devant cette idole.
On ne le répétera jamais assez: notre existence de son début à son terme est décidée souverainement par Dieu:
« Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? » (Matthieu 6:27)
 
Imaginer un seul instant qu’un grigri-vaccin peut y changer quelque chose, c’est tomber sous la malédiction:
 
« Ainsi parle l’Eternel: Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son coeur de l’Eternel! » (Jérémie 17:5).
 
Et pour que cela soit absolument clair et dépourvu de toute ambiguïté, Dieu a pris soin que la Bible nous raconte l’histoire du roi Asa:
 
« La trente-neuvième année de son règne, Asa eut les pieds malades au point d’éprouver de grandes souffrances; même pendant sa maladie, il ne chercha pas l’Eternel, mais il consulta les médecins » (2 Chroniques 16:12).
 
Voilà pourquoi ce que nous vivons est aussi la grande défaite de membres du Corps du Christ devant la bête, comme le prophétise Apocalypse 13:7: « Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre ». Et comme le dit Apocalypse 11:8, spirituellement, l’Egypte et Sodome, c’est la même chose.
 
Aucun grigri ne fait sortir ni du pays d’Egypte, ni de Sodome, mais seulement le Seigneur à main forte et à bras étendu. De ce point de vue, le vaccin-fétiche est le même type de chausse-trappe que le veau d’or et les amulettes de Jamnia: « Vois! Ton vaccin qui te fait rester au pays d’Egypte ».

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