onsdag 22. mai 2024

IL EST LE MAÎTRE DE L’ESPACE COMME DE LA TERRE

 

Je vais partager deux souvenirs de prodiges que j’ai vécus et qui eurent lieu en un endroit que je vais appeler symboliquement Éphèse.

Éphèse est un endroit dont il est question à plusieurs reprises dans les textes néo-testamentaires.

Le chapitre deux de l’Apocalypse mentionne Éphèse comme la première des sept églises. Comme Sardes, le nom d’Éphèse ne fait pas sens en grec ancien, même pas par association de mots, ce qui est pourtant le cas des cinq autres églises. Il y a là un mystère bien difficile à percer.

Longtemps, les milieux « scientifiques » nièrent que les événements relatés par l’Ancien Testament eussent un caractère historique. Leur morgue subit toutefois un cuisant revers avec la découverte au XIXème siècle de la fascinante stèle de Mesha qui non seulement confirme l’existence historique des Moabites mais aussi témoigne d’une bataille relatée en 2Rois 3:4-27.

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Il allait en être de même au siècle suivant lorsque le linguiste tchèque Hrozný déchiffra des tablettes cunéiformes qui confirmaient à leur tour l’existence historique des Hittites et de royaumes hittites. Les langues déchiffrées par Hrozný sont indo-européennes : « watar », l’eau, « anda », dans (cf. endo en grec et latin archaïque), « daluki », long (cf. dolikhos grec), « ed- », manger, (cf. to eat, edere en latin), « itar », chemin (cf. iter en latin), « mekki », beaucoup (cf. suédois mycket, anglais much), « nepis », ciel (cf. niebo en polonais et en russe). Je ne m’étends pas davantage mais, alors que les langues indo-européennes jusque là anciennement attestées comme le grec et le sanskrit sont morphologiquement complexes, le hittite, plus anciennement attesté qu’elles, est plus simple, comme le germanique, le slave, le baltique et le celtique, ce qui bouleverse les « certitudes » relatives au proto-indo-européen.

Si les langues déchiffrées par Hrozný étaient parlées à l’est de la Turquie actuelle dès le milieu du 2ème millénaire avant J.C., elles sont apparentées à des langues qui ont été parlées plus tard à l’ouest de la Turquie actuelle et que le grec a progressivement supplantées. Il est vraisemblable que le lykaonien mentionné en Actes 14:11 appartenait à cette famille de langues, à côté du lycien, du lydien, du pisidien ou du carien.

Ephèse pourrait être l’adaptation à la phonétique grecque d’une ville au nom anatolien qui pourrait avoir été « Apaša » dont parlent des documents hittites. Cela étant, même à partir du hittite connu de façon encore très lacunaire, il reste bien difficile de percer la signification du nom de la ville. Si l’on se risque à des associations de mots, on pourrait identifier le premier élément comme signifiant « derrière » ou bien « attraper » et le second « le bien », « le champ » ou au contraire « la honte » mais tout cela reste aussi incertain que brumeux.

Quoi qu’il en soit, l’Éphèse biblique historique nous est perceptible d’abord par la lettre aux Éphésiens.

Il y avait des saints et des fidèles à Jésus-Christ (1:1). Ils avaient cru la Parole de vérité, l’Évangile de salut, et ils avaient reçu le Saint-Esprit (1:13). Ils avaient confiance en Christ et l’amour des frères (1:16).

Paul leur dit que Christ est au dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité et de tout nom qui se peut nommer (1:21). Il ajoute que les dominations et les autorités dans les lieux célestes vont avoir par l’Église la révélation de la sagesse variée de Dieu (3:10). Et, surtout, il pointe que le combat des enfants de Dieu n’est pas contre les autres hommes mais contre les dominations, autorités, princes de ce monde de ténèbres et esprits méchants dans les lieux célestes (6:12). C’est bien connu, c’est dans ce chapitre que Paul énumère des armes de combat spirituel ((14-18).

Paul clarifie que le salut est par grâce, par le moyen de la foi ; qu’il est un don de Dieu qui ne s’achète point par de bonnes œuvres (2:8-9).

Paul exhorte aussi les Éphésiens à l’unité, l’unité du corps un du Christ réalisé par Son Esprit (4:3-4). Il martèle qu’il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous (4:5-6). Ce qui menace cette unité dans l’Esprit, ce sont notamment les doctrines, tromperies et ruse des hommes dans les moyens de séduction (4:14).

Paul explique ainsi la fin de ses exhortations : les Éphésiens ne doivent plus marcher comme les païens qui marchent selon la vanité de leurs pensées, qui ont l’intelligence obscurcie, sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de leur ignorance et de l’endurcissement de leur coeur (4:17-18). Et les versets qui suivent donnent bien l’impression que, parmi les saints et fidèles de Jésus-Christ à Ephèse, il y avait encore du mensonge, de la colère , de la calomnie, de l’ivrognerie, du libertinage et même des larcins !!!

Bien sûr, toutes les recommandations de Paul valent pour les enfants de Dieu de tous les temps. Mais se pourrait-il qu’elles aient eu une pertinence toute particulière pour les Chrétiens d’Éphèse ?

A ce stade, il est intéressant de se reporter à l’autre facette d’Éphèse que nous livre les Actes des Apôtres, à partir du verset 23 du chapitre 19, et de relire tout ce qui précède aussi à la lumière de cet extrait des Actes.

On y découvre qu’Éphèse est une ville « religieuse » ou, plus exactement, une ville dont une partie de la population tire sa prospérité de la vente de bibelots religieux.

Il ne faut pas passer sur ce détail. L’un de ceux qui sent sa prospérité menacée par l’Église qui grandit à Éphèse s’appelle « Demetrios ». Il est facile de deviner qu’il a été appelé ainsi parce que ses parents l’ont consacré à la déesse « Demeter » dans le nom de laquelle on voit indiscutablement le mot « mère ». La première syllabe est comprise par certains comme voulant dire « terre » (« dê » au lieu du « gê » habituel qu’on trouve dans Géographie) parce que Demeter était une divinité liée à l’agriculture , invoquée pour obtenir de bonnes récoltes. Mais il se pourrait aussi que, par chute d’un digamma, il s’agisse du mot indo-européen signifiant « dieu ». Au choix, Demeter, c’était la terre-mère ou la déesse-mère.

Or, la déesse qui faisait la prospérité des Éphésiens (Actes 19:24) était « Artemis », appelée « Diane » chez les Romains. Qu’est-ce que c’était au juste que cette déesse ? Sa principale caractéristique était qu’elle était vierge. Elle était liée à la lune, donc une divinité de la nuit, et on la disait sœur du soleil, le dieu Apollon. Inutile d’en dire davantage si ce n’est que, quand on fait la synthèse de ce que représentait Demeter et de ce que représentait « Artemis », on a pratiquement tout ce qui caractérise la reine du ciel, y compris la prospérité que tirent de la vente de bibelots religieux les endroits où elle est apparue.

Il est frappant de lire en Actes 19:27 que « Diane » est révérée dans le monde entier. Or, bien sûr que Diane/Artemis n’était connue que dans le monde greco-latin de l’époque. C’est donc que, sous d’autres noms, la même entité était révérée ailleurs. Justement, on sait que les Anatoliens, donc aussi, par hypothèse, les habitants de l’Ephèse pré-grecque adoraient la déesse « Cybèle », tenue pour la « grande mère », dans laquelle les peuples du Moyen-Orient reconnaissaient leur « Astarté » dont il est souvent question dans l’Ancien Testament.

Il ne faut pas hausser trop vite les épaules quand on lit, au verset 35, que la statue de Diane était tombée du ciel. On prétend bien, à Sainte Anne d’Auray, que le paysan qui prétendait voir « la mère de Marie » avait été conduit par elle à un endroit où était enterrée une statue d’elle qui fut ensuite vénérée jusqu’à ce qu’elle disparaisse pour de bon sous la révolution. De même, dans l’Éphèse symbolique dont je vais parler, des enfants ont produit un chapelet qui leur aurait été donné par « Marie ». Ne sous-estimons pas les possibilités des ténèbres.

Et c’est bien pour toutes ces raisons que je crois parfaitement indiqué d’appeler « Éphèse » l’endroit où je vécus les deux prodiges que je vais raconter ci-après.

Toutefois, je vais encore dire deux mots d’Éphèse, telle qu’elle apparaît aux versets 1 à 6 du chapitre 2 de l’Apocalypse. De façon générale, chacune des sept églises est représentée par un chandelier d’or (1:20). Or, quand on écrit le Nom du Seigneur en hébreu, Yeshua’, il se forme pratiquement le dessin d’une menorah à sept branches. Il faut donc comprendre que, ces chandeliers, c’est le Nom du Seigneur, que chacune des sept églises porte ainsi le Nom du Seigneur et que, toutes ensemble, elles forment un chandelier fait de sept chandeliers … et c’est le Corps du Christ !

Jésus reproche à la première église d’avoir abandonné son premier amour (verset 4). C’est un reproche similaire qu’il fait à la septième église, d’être devenue tiède. Or, sur une menorah, la première et la septième lampes sont portées par deux arcs qui se rejoignent au même point sur le fût. Il y a là quelque chose qui se retrouve en ce qui concerne la deuxième et la sixième églises puisque Jésus n’a que des paroles d’encouragement pour elles. De même, le Seigneur adresse des reproches lourds à la troisième et à la cinquième églises.

Pour revenir à Éphèse. Elle est la première église, comme l’aînée des églises. Cela nous fait penser à Jérusalem, peut-être à Antioche. Mais cette église est tombée de la flamme de l’Esprit dans le ronronnement de la routine et des traditions. Si elle ne se réveille pas, elle perdra sa place d’honneur comme Ruben perdit son droit d’aînesse.

* * *

C’était au printemps 1996, à « Éphèse ». La nuit était tombée. Une foule se rassemblait petit à petit. Ma mère, moi, une collègue et son fils nous tenions à l’écart.

C’est alors que je levai les yeux vers le ciel et regardai AILLEURS. Et j’insiste pesamment sur le mot « ailleurs » car je pense qu’il est une clef de ce qui se passa ce soir-là.

Haut dans le ciel, je vis une étoile très lumineuse, anormalement lumineuse, que j’indiquai à ceux qui m’accompagnaient. Ma collègue entonna un cantique. La lumière de l’étoile, c’était flagrant, se mettait à palpiter en fonction de l’intensité de la voix de ma collègue. Nous la regardâmes vraiment longtemps. Elle ne pouvait pas être un avion. Un avion se déplace dans le ciel. Idem, pour un hélicoptère ou quoi que ce soit qui vole et qui soit fabriqué par des hommes.

Ma collègue penchait pour l’Étoile du berger. C’était rigoureusement impossible. C’est la planète Venus qui se trouve ente nous et le soleil. Quand elle est à droite du soleil (par rapport à nous), nous la voyons après le coucher du soleil. Mais, à cause de la rotation de la Terre, elle semble descendre et disparaît assez rapidement derrière l’horizon. Quand elle est à gauche du soleil, nous la voyons se « lever » le matin avant lui, puis son éclat s’effacer dans la clarté du jour.

Cela ne pouvait pas davantage être la planète Jupiter ou notre « voisine » l’étoile Sirius. Leur luminosité est constante. Elle ne varie pas en fonction de cantiques qui sont chantés sur Terre.

De toute façon, au bout d’une heure ou deux, l’étoile sembla se transformer progressivement en une poudre lumineuse, toujours haut dans le ciel, au même endroit.

Je pense désormais que Dieu avait fait apparaître cette étoile pour diriger notre attention vers elle pendant que tous ceux qui étaient autour de nous, qui s’étaient éloignés de nous, se rassemblaient dans la vallée, là où est vénérée la reine du ciel.

Je crois qu’Il nous fit voir le genre d’étoile qu’Il montra aux mages. Combien je suis irrité quand j’entends de stupides fables scientistes en ce qui concerne l’étoile de Matthieu. Non, Chrétiens, cessez donc de donner crédit à la fumeuse théorie d’une conjonction de planètes. L’étoile que virent les mages se mouvait dans le ciel et leur indiquait la direction de Bethléem (Mat. 2:9). Et elle s’arrêta lorsqu’ils furent arrivés. Il s’agit donc d’une étoile que Dieu avait allumée et animée dans le ciel pour diriger vers Jésus.

C’est pourquoi je crois volontiers que c’est cette étoile-là que Dieu ralluma pour nous ce soir-là, pour nous faire regarder en direction du Messie. « Je lui donnerai l’étoile du matin » (Apocalypse 2:28).

Je pense aussi à la fois où, en attendant un autobus un soir glacial, j’avais repassé dans ma tête différentes distances dans l’univers et l’homme en ressortait si insignifiant que j’avais, sottement, dit à Dieu : « Il est impossible que Tu t’intéresses à nous. Dans tout cela, nous ne sommes même pas des virus à l’échelle de la Terre ». Dieu fit alors qu’il y eut une tempête d’une neige très épaisse et alors que je la regardais, Il me dit que, pour Lui, toutes les étoiles de l’univers n’étaient pas plus que, pour moi, toute l’infinité de flocons de neige qui tombaient ce soir-là. Il me fit comprendre qu’Il était grand et infini dans toutes les directions et pas seulement vers le très grand, de sorte que, en Lui, très grand, très petit, ne fait plus ni différence, ni sens.

Deux ans plus tard, je me rendais pour la dernière fois à « Éphèse ». Avec notre groupe Luxembourgeois, nous montions vers une colline au sommet de laquelle il y a une très haute croix fixée dans un grand socle de béton de deux mètres de haut et d’environ dix mètres carrés de superficie.

A l’approche du sommet de la colline, le ciel se faisait de plus en plus noir et menaçant. Aussi le gros du groupe jugea-t-il plus prudent de rebrousser chemin et de retourner dans la vallée. Mais, si près du but, je préférai aller jusqu’à la croix et mon amie Annette m’accompagna. A peine arrivions-nous au pied de la croix qu’il se mit à pleuvoir à grands randons.

Heureusement, dans l’un des quatre côtés du socle, il y avait un abri étroit. On pouvait s’y tenir debout, épaule contre épaule. Nous fûmes rapidement rejoint par un couple, des Suisses, je crois, et ensuite une cinquième personne.

Le spectacle autour de la croix était apocalyptique. Si nous avions lâché un journal, il serait devenu de la pâte à papier en quelques secondes. Et il soufflait un vent à décorner des bœufs qui semblait tourner autour de la croix. Je me souviens que nous nous étions dit que c’était comme l’image du monde où la violence et le mal se déchaînent tandis que les enfants de Dieu sont à l’abri auprès de la croix … Nous ne croyions pas si bien dire … La tempête sembla durer un temps interminable.

Maintenant, je le comprends ainsi. « Éphèse » est un lieu de combat spirituel et Dieu voulait nous garder sur la colline, près de la croix, et pas dans la vallée, là où prospèrent les marchands de bibelots religieux.

Quelques mois plus tard, je regardai une émission (je regardais encore la télévision à l’époque) de télévision sur une chaîne régionale allemande. Elle était diffusée depuis « Éphèse », au pied de la croix où nous nous étions abrités.

La caméra tournait autour de la croix. Je me rendis compte alors, avec surprise, que les quatre côtés de la croix étaient absolument lisses. Il n’y avait plus le moindre abri. J’en parlai à Annette qui devait retourner à « Éphèse ». Pourquoi avait-on bouché ce providentiel abri dans le socle de la croix ?

A son retour, Annette me raconta qu’elle avait posé la question à des « Éphésiens » qui lui assurèrent tous qu’il n’y avait jamais eu d’abri dans le socle de la croix.

Je le répète. Quand Jésus dit que, si nous avions de la foi comme un grain de moutarde, nous dirions à la colline de se transporter dans la mer, ce n’est pas de l’exagération méditerranéenne. La réalité est relative. Elle n’est que ce Dieu veut qu’elle soit à un moment donné, pour une personne donnée.

C’est bien pourquoi la science des hommes n’est que de la folie pour Dieu car elle regarde comme des absolus ce qui n’est que la décision souveraine de Dieu à un moment et à un endroit donnés.

« Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre; car les puissances des cieux seront ébranlées ». (Luc 21:25-26)

«Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu’un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. Le ciel se retira comme un livre qu’on roule; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places » (Apocalypse 6:12-14). 

«  … tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies ». (2 Pierre 3.7)

Je suis convaincu que ces textes et d’autres similaires nous décrivent ce qui va se passer alors que des pans entiers de l’Église sont hypnotisés, dupés, par le récit « scientifique » qui a peu à peu remisé le récit biblique à la périphérie. On ne comprend plus du tout, dans l’Église, que le monde existe par la Parole, par le Verbe, par la Voix qui est l’expression créatrice de la volonté du Dieu Un. La fable darwinienne coexiste – quand elle ne l’évince pas – avec la Parole dans la « Weltanschauung » de l’Église d’aujourd’hui.

Et c’est pourquoi Dieu va amener le jugement sur cette illusion, sur cette tromperie-là et montrer que, Lui, n’est pas limité dans Sa souveraineté par E = m x c 2 . Les certitudes physiques, astronomiques, scientifiques des hommes vont s’effondrer. Et c’est cela qui va les mettre dans la terreur car Dieu va révéler que leur foi était dans l’homme et pas en Dieu.

« Les puissances des cieux seront ébranlées ». Le cosmos n’obéira plus aux lois que les « scientifiques », qui ne l’observent d’ailleurs de façon « moderne » que depuis à peine 400 ans, croyaient immuables.

Certes, il est improbable que les étoiles tomberont littéralement sur la Terre car la plus insignifiante des naines blanches engloutirait notre planète. Mais Dieu accélérera probablement des mouvements qui, à l’échelle actuelle du temps, se calculent en millions d’années.

Au fond, les galaxies comme la nôtre, la Voie lactée, ont un peu comme des lavabos remplis d’eau qui se vident, l’orifice étant le trou noir massif en son centre. A une autre échelle du temps, les étoiles bougent effectivement en tournoyant autour du centre de la galaxie.

La mer et les flots qui font grand bruit, cela évoque des vents violents, des marées plus fortes à cause d’une augmentation de la gravité. Est-ce que Dieu recontractera brutalement toute la matière cosmique ? Je ne peux pas spéculer. Mais s’Il peut, en un clin d’oeil, susciter un abri dans un socle de béton puis le faire disparaître par après, Il peut bien faire disparaître tout le cosmos comme un rouleau qui s’enroule.

Mais nous n’aurons pas peur car, de même qu’Il ouvrit un passage à travers la Mer rouge, Il ouvrira un passage à travers les puissances des cieux ébranlées pour venir à nous avec grande puissance et grande gloire.

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