Pour ceux qui ne veulent pas entendre : Plan dévoilé lors d’une conférence donnée en octobre 2019
Source – lørdag 23. januar 2021
The great reset
Le Forum économique mondial (World Economic Forum) est une organisation privée fondée en Suisse au début des années 70 notamment par un professeur d’économie Klaus Schwab. Sa réunion annuelle à Davos (Suisse) a une grande couverture médiatique. Présentée d’abord comme une organisation de présentation et de promotion des principes du libéralisme économique américain, elle s’est muée en un lieu de rencontre entre le pouvoir économique mondial et les pouvoirs politiques. En apparence, on y discute, on y débat. Mais c’est beaucoup plus fort que cela.
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Ce document est fascinant. Il FAUT le regarder. C’est la meilleure introduction à ce que nous sommes en train de vivre.
Mais, regardez en tout cas à partir de la minute 24, les extraits de « Event 2.1 ». Il ne faut surtout pas passer à côté de ce détail : cette conférence a lieu en octobre 2019. Je répète, en OCTOBRE 2019, à partir du 18 ! Il est proposé à ces experts réunis par le Forum économique mondial, en étroite association avec la Fondation Bill Gates, de réfléchir à un scénario hypothétique : un coronavirus passe du cochon à des fermiers et finit par contaminer tous les pays de la planète. Tout ce qui nous est devenu familier est mentionné, l’obligation de porter des masques et la prise obligatoire de température. Wow ! Reconnaissons qu’ils ont beaucoup plus fort à Davos que la boule de cristal de Madame Irma ou que l’astrologie d’Elisabeth Tessier !
Quelque chose du même ordre, mais en plus discret, est ce qu’on appelle le Groupe de Bilderberg, du nom du lieu où il commença à se réunir aux Pays-Bas à partir du milieu des années 50.
Mais retournons plutôt au Forum économique mondial dont le manitou, Klaus Schwab, a publié un livre intitulé « the great reset ». Ce livre est aussi important pour comprendre nos années 20 que « mein Kampf » l’était pour les années 20 du siècle précédent.
Klaus Schwab s’y fait l’avocat de la grande réinitialisation. Il va y avoir une crise économique mondiale majeure. Une des conséquences certaines qu’en tire Klaus Schwab, c’est que les emprunts ne pourront pas être remboursés ni les dettes apurées. Aussi, en échange de l’effacement de leurs dettes, les endettés perdront tous leurs avoirs. Mais ils toucheront un revenu qui leur permettra, disons, de survivre. Appelons cela une nouvelle portion congrue. La formule de Klaus Schwab, en mauvais anglais, est lapidaire : you’ll own nothing and you’ll be happy.
C’est bien clair que cela sera l’avenir qu’il prévoit pour les personnes endettées.
Mais, est-ce que cela s’arrêtera-là ? En fait, ce sont aussi nos Etats qui sont endettés et, au final, les Etats, ce sont nous qui en sommes les citoyens. Je redoute donc que la formule de Klaus Schwab vise tout simplement tous les avoirs de tout le monde dans le monde entier (avec des exceptions, vous l’avez deviné, sur lesquelles je vais revenir). C’est nous tous, je le redoute, qui seront dépossédés de tout notre patrimoine et qui serons heureux, selon ce programme.
Klaus Schwab n’est qu’un professeur d’économie. Qui sont les principaux acteurs de l’avènement de ce nouvel ordre mondial (New World Order) ?
Le plus visible dans les media est évidemment Bill Gates. Bill Gates est issu d’une famille qui avait deux valeurs suprêmes, l’argent et l’eugénisme (j’y reviendrai). Ce sont les deux paramètres qui définissent sa propre équation.
Bill Gates, c’est la plupart des ordinateurs du monde avec Microsoft. Mais c’est aussi l’un des principaux investisseurs dans l’industrie pharmaceutique. Sa fondation n’est que la partie immergée de l’iceberg. Il investit son immense fortune aussi dans les grandes multinationales pharmaceutiques comme Gilead et Pfizer. Donc, sachant que l’OMS est passée d’un financement public à 80 % à la fin des années 40 contre 20 % de privé à maintenant 80 % de financement par l’industrie pharmaceutique contre 20 % de financement public, il est clair que cette organisation internationale n’est plus qu’un pantin de gens tels que Bill Gates.
Bill Gates est très présent aussi sur le thème du changement climatique. Soyons clairs. Il y a 10.000 ans, la calotte glaciaire arrivait au niveau actuel de Londres et d’Amsterdam. Le climat s’est donc considérablement réchauffé depuis. Toutefois, il est improbable que ce soit à cause des automobiles et des avions des hommes préhistoriques. Une planète telle que la terre reçoit pratiquement toute son énergie de l’étoile autour de laquelle elle tourne. Les hommes n’ont disposé d’instruments d’observation et de mesure de l’espace que depuis trois ou quatre siècles. Nous n’avons donc pas de données pour savoir comment varient éventuellement dans le temps les flux d’énergie provenant d’étoiles telles que le soleil. Les astronomes devront attendre encore quelques centaines de siècles pour cela. Toutefois, il est intéressant de relever que, à partir de novembre 2019, on a relevé un déclin extrêmement brutal de la luminosité de Betelgeuse qui a diminué de près de la moitié pendant quelques mois. Certes, Betelgeuse est un monstre qu’il est difficile de comparer au soleil qui ferait figure de pois chiche à côté d’une montgolfière de 10 mètres de diamètre. Mais imaginons un instant ce qui se passerait chez nous si la luminosité du soleil baissait de moitié en quelques mois. Il y aurait des igloos à Abidjan!
Certes, l’activité humaine a un impact sur le climat mais dans des proportions insignifiantes par rapport au grand paramètre qui est l’énergie stellaire.
Bill Gates, pour revenir à lui, estime au contraire que le problème climatique est lié à la population mondiale. Pour régler le problème climatique, il faut réduire la population.
Dans une conférence pour l’ONU, il a déclaré, « si nous faisons vraiment du bon travail avec les nouveaux vaccins, nous allons pouvoir réduire la population de 10 à 15 % ».
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Vous ne saviez pas que les nouveaux vaccins avaient un tel objectif ? Pour Bill Gates, ce n’est de toute façon qu’une étape. Il fait partie de ceux qui estiment qu’il ne faut pas plus de 500 millions de personnes sur terre. Comme nous sommes de l’ordre de 8 milliards, les nouveaux vaccins doivent être aidés par d’autres moyens. L’un d’entre eux est ce que Bill Gates appelle « reproductive health » qui recouvre stérilisation et avortement. Justement, certains ingrédients de vaccins y contribuent (voir annexe).
Une autre personne immensément riche qui influe puissamment sur le monde est George Soros. Il est lui aussi, comme Bill Gates, dans la constellation du Forum économique mondial.
Cet interview donne le ton du personnage :
https://www.youtube.com/watch?
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Bien sûr, un adolescent de 14 ans n’est pas coupable du pillage des biens des Juifs hongrois déportés par les nazis. Mais que le fait d’y avoir participé activement ne suscite rétrospectivement aucune émotion particulière est, pour dire le moins, glaçant.
Bill Gates et George Soros ont un point commun. Les media les appellent « philanthropes ». Dans le climat de mensonge et de manipulation dans lequel nous vivons, je crois que ce mot doit être plus ou moins un équivalent codé de « Führer, duce ou caudillo ».
Plus brumeux est ensuite la participation des Rockefeller au « great reset ». Ils sont beaucoup moins médiatiques. En revanche, après avoir fait fortune dans le pétrole, les Rockefeller ont massivement investi dans l’industrie pharmaceutique (ce qui est dit long sur son inépuisable rentabilité). Ils sont donc aussi l’un des grands bénéficiaires financiers de l’aubaine constituée par l’épidémie de coronavirus et surtout par les choix insensés des décideurs politiques qui ne peuvent s’expliquer que par de la corruption massive ou de l’incompétence abyssale.
Il y a, encore plus brumeux, les Rothschild. Je me souviens simplement que, en 2017 ou 2018, le journal the Economist publiait un éditorial s’alarmant de ce que « Trump is threatening to destroy the New World Order ». Le journal appartenant aux Rothschild, certains avaient déduit qu’ils voyaient d’un bon œil l’avènement du nouvel ordre mondial. A voir.
Rassurez-vous tout de même, quand Klaus Schwab dit « you’ll own nothing and you’ll be happy », il ne parle pas de ces familles-là. En fait, les richissimes vont transformer le monde en ploutocratie directe. A eux la propriété de la terre. « They will owe everything and they will be even happier ». Ainsi pourrait-on compléter le programme de Klaus Schwab.
Si cela aboutit, et l’élite économique, politique et médiatique du monde souque ferme pour y arriver, nous nous retrouverons, en quelque sorte, comme les Egyptiens à la fin des 7 années de vaches maigres dans le récit du chapitre 47 de la Genèse. Ils ne se possédaient même plus eux-mêmes. En fait de 4ème révolution industrielle, c’est plutôt un 4ème Reich, une grande involution de la société humaine.
Mais alors, qu’y a-t-il derrière tout cela ?
Eh bien, il y a une pensée, une « Weltanschauung » à trois côtés née au XIXème siècle. Le premier côté, ce sont les théories de Darwin sur l’évolution des espèces. Il est dans l’ordre des choses qu’il y ait des espèces performantes, mieux adaptées, qui se développent aux dépens des espèces plus faibles et finissent par les éliminer. Du point de vue Darwinien, c’est même bon et souhaitable qu’il en soit ainsi, que les espèces fortes éliminent les faibles. Il ne faut surtout pas injecter des considérations morales dans cet ordre-là.
Tout cela fit la plus grande impression à l’époque. Aussi cette vision fut-elle transposée à l’économie. Il est bon que les opérateurs économiques forts prospèrent et dominent sur ceux qui sont plus faibles et les éliminent. Il ne faut surtout pas que cela soit contrarié. Les Etats et leurs réglementations sociales sont vouées aux gémonies. Cette idéologie est l’essence du libéralisme économique qui n’est que la transposition des théories de Darwin à l’économie. Cette idéologie a repris beaucoup de vigueur dans le monde grâce à ses hérauts de l’époque Ronald Reagan et Margaret Thatcher. En France, nous vécûmes une véritable révolution culturelle (ou plutôt un lavage de cerveau en règle) dans les années 80 avec notamment MM. Madelin et Léotard. Pour cette engeance, les pauvres sont des « loosers » regardés avec condescendance tandis que les riches « winners » sont adulés.
Le troisième côté du triangle transpose cette idéologie à l’humanité. C’est le racisme et l’eugénisme. Il y a des races ou des groupes d’hommes supérieures à d’autres et il est nécessaire et juste qu’ils prospèrent sur eux et les éliminent. Hitler est l’avatar de cela, pas le concepteur. Il a été l’agent de l’irruption par la force brutale d’idées qui se partageaient en bas de soie devant des théières en argent.
Hitler et son 3ème Reich de 1000 ans a été balayé au bout de 12 ans. Mais le triangle est toujours là, plus fort que jamais.
Avec le temps, les eugénistes, comme Bill Gates et sa famille, reprennent des couleurs. La parole se libère. Il y a des pans entiers de l’humanité qui sont une charge pour les winners. Il faut les faire disparaître. C’est la logique de ce triangle de pensée qui est hermétique à tout ce que NOUS considérons comme moral et humain.
Ce triangle est la pensée des ténèbres et il veut instituer l’ordre des ténèbres sur notre planète.
Le coronavirus n’est qu’un outil pour parvenir à instaurer ce nouvel ordre dont ils rêvent. Avec docilité, les pouvoirs publics prennent les mesures les plus absurdes pour hâter la faillite générale qui rendra incontournable leur grande réinitialisation.
« You’ll owv nothing and you’ll be happy … »
Je signale tout particulièrement les médecins et les juristes qui se sont réunis dans la World Freedom Alliance ». L’antidote du mensonge, c’est la vérité. Et dans la Vérité, nous serons libres.
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